Inclusion : Prendre le temps de dresser une liste des aides financières potentielles pour le logement peut être une première étape utile et importante pour comprendre les options disponibles et maintenir un suivi du processus.

Découverte : Nous avons appris que l’accès au financement peut être complexe. Il existe de nombreux types de financement, tels que les suppléments au loyer, les subventions au déménagement ou les mesures de soutien pour les services publics. Les provinces et territoires peuvent également imposer des conditions d’admissibilité complexes.

Conseil : Pour aller plus loin, vous pouvez ajouter à la liste des informations sur le moment et la manière de demander un financement.

Découverte : On nous a souligné l’importance d’apprendre à créer un budget de logement viable et à gérer les factures lorsque l’on déménage pour la première fois. Cela implique souvent de nouvelles routines, de nouvelles compétences et de nouveaux systèmes qui doivent être mis en place progressivement.

Conseil : Utilisez des exemples de situations de logement réelles pour explorer des concepts financiers tels que le loyer, les intérêts, le crédit et l’épargne.

Conseil : Explorez différents outils en ligne ou applications qui permettent d’assurer le suivi de vos paiements de loyer, de votre épargne ou de vos factures. Il faut parfois s’y prendre à plusieurs reprises pour trouver l’outil qui convient le mieux. C’est pourquoi il convient d’explorer les différentes options offertes. Cependant, faites preuve de prudence lorsque vous partagez des informations personnelles et financières.

Inclusion : La mise en place de services bancaires automatisés peut faciliter la gestion quotidienne de l’argent. Cependant, cela peut impliquer l’utilisation de nouvelles technologies ou la coordination avec des banques et prestataires de services, ce qui peut nécessiter un effort initial supplémentaire. Il peut être utile de travailler avec un(e) accompagnateur(rice) de confiance pour tout mettre en place. Veillez à ne pas présumer du niveau d’aisance d’une personne avec les outils technologiques.

Découverte : Nous avons appris que la gestion des factures peut être répétitive et qu’il peut être difficile de mémoriser les différentes échéances. L’automatisation des dépôts, des virements récurrents et des paiements de factures permet de réduire la charge cognitive et d’éviter les paiements manqués ou les frais de retard.

Exemple : Nous avons discuté avec plusieurs personnes neurodivergentes de la manière dont le financement peut améliorer leur logement. Mais un point important a été soulevé, soit qu’il faut d’abord savoir comment accéder au financement et l’utiliser.

Une personne autiste a déclaré que son accompagnateur(rice) professionnel(le) l’avait aidée à s’y retrouver et à gérer son financement. Son/sa travailleur(euse) social(e) a examiné son financement et a remarqué qu’il n’était pas utilisé. Lorsque questionnée à ce sujet, la personne autiste a répondu qu’elle ne savait pas du tout comment faire pour l’utiliser. « Alors [il/elle] m’a montré comment faire! C’était formidable d’avoir de l’aide dans ce domaine. [Mon/ma travailleur(euse) social(e)] a été vraiment, mais alors vraiment extraordinaire. »

Application : Consultez notre Diagramme du flux d’argent, un outil visuel qui aide les personnes neurodivergentes à déterminer comment l’argent entre et sort d’un compte et à repérer les possibilités de simplifier ou d’automatiser les tâches financières.

Découverte : Nous avons appris que de nombreuses personnes apportent du soutien au quotidien par de petits gestes, même si la personne vit seule. Il peut être utile d’en dresser la liste. Par exemple, la liste peut inclure des ami(e)s, des membres de la famille et des prestataires de services tels que les travailleur(euse)s sociaux(ales), le personnel des programmes de jour, les thérapeutes, les professionnel(le)s de la santé ou les services de soins personnels.

Conseil : Consultez notre carte de l’écosystème du logement pour en savoir plus sur les différents rôles dans l’écosystème du logement et sur la manière dont ils peuvent soutenir le logement neuroinclusif.

Application : Consultez notre liste à remplir, Suivi de vos mesures de soutien pendant un déménagement, pour vous aider à vous organiser et à rester en contact avec les personnes et les services qui vous soutiennent.

Découverte : Nous avons appris que le fait d’explorer les environs d’un logement afin de voir si les services disponibles correspondent aux besoins d’une personne peut aider celle-ci à décider s’il s’agit d’un bon endroit pour vivre.

Conseil : Dressez une liste des principaux prestataires de soutien, tels que les thérapeutes, les coordonnateur(rice)s et les travailleur(euse)s sociaux(ales), qui seront utilisés dans le nouveau quartier. Cette liste peut également être utilisée pour communiquer les besoins aux différentes équipes de soins ou avec de nouveaux prestataires de services.

Inclusion : Lors des périodes de transition, il est facile de perturber les systèmes de soutien. La tenue d’une liste à jour peut aider à maintenir la continuité et à soutenir la planification commune.

Inclusion : Le type de logement qui fonctionne le mieux est différent pour chaque personne. Par exemple, certaines personnes préfèrent vivre avec leur famille ou des colocataires, tandis que d’autres préfèrent vivre seules.

Conseil : Utilisez des guides visuels, des visites ou des listes de contrôle pour comparer les différentes options de logement. Assurez-vous d’inclure des détails sur l’environnement sensoriel, l’accessibilité, les mesures de soutien à proximité et le coût pour aider à déterminer la meilleure solution.

Application : Consultez notre exemple de Comparaison des styles de logement pour réfléchir aux caractéristiques importantes.

Découverte : On nous a mentionné que la cohabitation pouvait signifier partager un logement avec des colocataires, des membres de la famille ou des ami(e)s, ou encore habiter dans un foyer de groupe. Lorsque l’on vit avec des frères, sœurs ou autres membres adultes de la famille, il est essentiel d’instaurer un respect mutuel, des limites claires et un partage des responsabilités.

Conseil : Organisez des rencontres informelles pour que les colocataires potentiel(le)s puissent faire connaissance avant d’emménager ensemble. Ces rencontres donnent l’occasion à ces personnes de déterminer ce qui leur convient le mieux.

Exemple : Lorsque nous avons parlé à des étudiant(e)s neurodivergent(e)s de leur quête d’un logement, certain(e)s nous ont indiqué que les conseiller(ère)s de leur établissement postsecondaire les avaient mis(es) en contact avec différentes options de colocation. Ces conseiller(ère)s ont également pris en compte l’emplacement, la possibilité d’avoir des colocataires, les besoins en matière d’accessibilité et les services à proximité.

Inclusion : La recherche d’un logement peut prendre du temps et s’accompagner de difficultés. Parfois, ce processus est plus facile avec l’aide d’un(e) professionnel(le), d’un(e) membre de la famille ou d’un(e) ami(e).

Conseil : Pensez à communiquer avec un(e) accompagnateur(rice) professionnel(le) en logement, un(e) coordonnateur(rice) de services ou un(e) guide du logement. Ces professionnel(le)s aident leurs client(e)s à trouver des solutions de logement adaptées à leurs besoins..

Découverte : Nous avons appris que ces professionnel(le)s travaillent souvent pour des agences communautaires, des services de logement, des services de développement, des organisations de santé mentale ou des organisations à but non lucratif axées sur le logement.

Conseil : Nous avons appris que ces professionnel(le)s travaillent souvent pour des agences communautaires, des services de logement, des services de développement, des organisations de santé mentale ou des organisations à but non lucratif axées sur le logement.