Bien vivre chez soi

Une fois les boîtes défaites, l’accent est mis sur ce qui permet de rendre le domicile confortable et d’assurer son bon fonctionnement au quotidien.

Cette section comprend des idées pour s’entendre avec les colocataires, s’occuper des tâches ménagères, partager l’espace et favoriser le bien-être.

Établir et entretenir des relations positives

Se sentir bien chez soi implique d’avoir des relations positives avec les autres personnes à l’intérieur et à l’extérieur du domicile. Dans les relations, une communication claire, des limites saines et un sentiment de connexion font une grande différence.

Nous proposons ici des moyens de renforcer les relations avec les colocataires, le personnel de soutien, les voisins, les membres de la communauté et bien d’autres.

Parlez ouvertement des besoins et des préférences des colocataires

Découverte : On nous a souligné que le fait de discuter avec les colocataires de leurs besoins en matière d’accessibilité, de leurs préférences sensorielles, de leurs routines et de leurs facteurs de stress peut aider tout le monde à vivre ensemble plus facilement.

Conseil : Trouvez le bon moment, le bon endroit et les bons outils pour mener ces discussions. Poser des questions ouvertes peut aider à amorcer une conversation. L’objectif est d’établir un canal de communication bidirectionnel et permanent.

Application : Consultez notre outil de réflexion Pour apprendre à me connaître pour susciter des conversations ouvertes et aider les colocataires à comprendre mutuellement leurs besoins et leurs préférences.

Fixez des règles concernant la présence de visiteur(euse)s afin d’assurer le confort de tout le monde

Découverte : On nous a mentionné que les colocataires se sentent plus à l’aise et plus détendu(e)s à domicile lorsqu’il existe des règles claires sur des sujets tels que les heures de silence, l’utilisation des espaces communs et les visites.

Conseil : Définissez les plages horaires pendant lesquelles les visites sont autorisées, les pièces dans lesquelles les visiteur(euse)s sont autorisé(e)s, et les endroits qui sont interdits aux visiteur(euse)s. Cela pourra rendre les visites plus prévisibles.

Application : Consultez notre exemple de Formulaire d’entente entre colocataires, qui peut aider à définir des attentes claires concernant les tâches ménagères, les visites et les heures de silence. Il est facile à utiliser tout en laissant de l’espace pour inscrire des détails importants que les formulaires de base ne prennent pas toujours en compte.

Révisez régulièrement l’entente entre colocataires

Découverte : Nous avons appris que le fait de revoir régulièrement l’entente entre colocataires aide tout le monde à rester sur la même longueur d’onde et à s’exprimer si des modifications sont nécessaires.

Inclusion : La fréquence des révisions dépend des préférences de chacun(e). Elles peuvent être effectuées une fois par mois, une fois par an ou lorsque quelqu’un emménage.

Conseil : Amorcez une discussion détendue sur ce qui fonctionne et sur ce qui pourrait être amélioré. Choisissez un environnement confortable, comme s’asseoir sur la galerie ou prendre un café ensemble. Le fait de rester informel peut aider les gens à se sentir à l’aise et à parler ouvertement.

Application : Consultez notre Trousse de bienvenue pour les nouveaux(elles) locataires. Il s’agit d’une manière conviviale de partager l’entente entre les locataires, de recueillir les préférences de communication et d’aider les gens à se sentir accueillis et soutenus dès le début.

Encouragez les gens à se faire accompagner d’une personne de confiance lors d’événements communautaires

Découverte : On nous a mentionné que le fait de participer à des événements avec un(e) ami(e), un membre de sa famille ou un(e) accompagnateur(rice) permettait aux gens de se sentir plus à l’aise dans les situations sociales.

Inclusion : Faire savoir aux personnes qu’elles peuvent amener quelqu’un avec elles à des événements communautaires tels qu’un barbecue sur le toit, une soirée de jeux ou un projet de jardinage peut atténuer le stress social et favoriser l’inclusion.

Conseil : Essayez d’ajouter une phrase aux invitations aux événements pour préciser que les personnes invitées sont encouragées à venir à l’événement accompagnées.

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Réalisation des tâches ménagères

Les tâches ménagères et l’entretien font partie intégrante de la vie quotidienne. Les personnes avec lesquelles nous avons discuté avaient des idées très différentes pour accomplir les tâches ménagères. Voici quelques moyens pratiques de rendre ces tâches plus faciles et plus gérables.

Accomplissez plus de choses en travaillant ensemble ou en parallèle

Inclusion : Le « doublage corporel » consiste à effectuer des tâches en parallèle avec quelqu’un d’autre qui effectue d’autres tâches. Cela peut accroître la motivation et faciliter le début du travail et le maintien de l’implication. Cette technique peut être utile pour les personnes qui vivent seules et qui ont besoin d’une motivation extérieure pour accomplir des tâches ménagères.

Conseil : Essayez de vous jumeler en personne ou virtuellement pendant que vous faites des tâches ménagères. Il peut s’agir d’un(e) colocataire en train de ranger son propre espace, d’un(e) ami(e) en appel vidéo ou même d’une simple conversation téléphonique en pliant le linge.

Exemple : Nous avons parlé du doublage corporel avec une personne qui l’a utilisé comme stratégie avec un membre autiste de sa famille.

Cette personne a déclaré : « Nous pratiquons le doublage corporel tout le temps. Parfois, lorsqu’[il/elle] rédigeait des travaux scolaires, [il/elle] m’appelait pendant que je préparais le souper ou que je faisais autres choses dans la maison. »

Et le doublage corporel n’impliquait pas nécessairement la personne à qui nous avons parlé. Cette dernière nous a expliqué que la personne autiste travaillait également en parallèle avec son/sa colocataire, les deux colocataires en question partageant une « relation symbiotique qui fonctionne très bien pour eux/elles, d’une manière très intéressante ».

Application : Consultez notre Guide sur le doublage corporel pour découvrir comment cette stratégie peut offrir une structure pour aider les personnes à commencer et à terminer des tâches ménagères.

Appuyez-vous sur vos points forts pour effectuer les tâches ménagères

Inclusion : Lorsque vous vivez seul(e), commencez par effectuer les tâches ménagères qui vous semblent les plus faciles ou les plus agréables afin de générer un élan propulseur. Utilisez des routines, des appareils ou des stratégies de soutien comme le doublage corporel ou la technique Pomodoro pour vous aider à surmonter les difficultés.

Conseil : Utilisez des outils tels que des aspirateurs robots, des mijoteuses ou des lave-vaisselle pour raccourcir la liste des choses à faire. Si votre budget vous le permet, ces appareils peuvent vous faire gagner du temps et de l’énergie.

Inclusion : Dans le cadre d’une cohabitation, les tâches ménagères n’ont pas toujours à être réparties équitablement. Certaines personnes préfèrent s’en tenir à des tâches qu’elles maîtrisent bien ou qu’elles n’ont pas peur d’accomplir. Cela n’est pas un problème, à condition que la charge de travail globale soit équitable et que les tâches les moins intéressantes soient réparties équitablement ou en alternance.

Conseil : Discutez des responsabilités que chaque personne aimerait assumer au lieu de les attribuer au hasard.

Exemple : Nous avons discuté avec plusieurs personnes neurodivergentes de la manière dont elles répartissent les tâches avec leurs colocataires. Une méthode efficace a consisté à déterminer qui avait le temps et l’énergie nécessaires pour certaines tâches.

En parlant de la préparation des repas et des finances, une personne a déclaré : « Il m’est très difficile de faire le ménage et de m’occuper de certaines tâches alors que je travaille à plein temps ». Et comme le/la colocataire de cette personne a plus de temps libre, « (il/elle) s’occupe de ce tout ce qui touche à la nourriture, et moi de tout ce qui touche à l’argent. C’est l’arrangement que nous avons actuellement »

Il est important de noter que la personne a mentionné que cet arrangement pourrait changer, mais que pour l’instant, il répond aux besoins des personnes en question sans leur donner l’impression d’être désavantagées ou surmenées.

Créez des listes de tâches pour organiser les responsabilités en matière de tâches ménagères

Découverte : Nous avons appris que les tâches ménagères peuvent sembler interminables. Les listes sont un moyen d’organiser les responsabilités et de se rappeler le moment où les tâches doivent être accomplies.

Conseil : Divisez les tâches en petites étapes et essayez de les répartir sur l’ensemble de la semaine. Un plan écrit, une application ou un rappel peuvent aider à éviter que les choses ne s’accumulent.

Conseil : Essayez de dresser une liste de tâches pour les colocataires et une autre pour les gestionnaires de la propriété. Par exemple :

Colocataires

  • Laver la vaisselle
  • Faire la lessive
  • Passer l’aspirateur

Gestionnaires de la propriété

  • Nettoyer les conduits d’aération
  • Entretenir les gouttières
  • Lutter contre les parasites

Conseil : Inscrivez sur des listes les tâches qui sont facilement oubliées ou qui sont plus difficiles à suivre.

Utilisez des outils de planification pour organiser qui fait quoi et quand

Découverte : Nous avons appris qu’il est facile d’oublier certaines tâches ménagères, telles que la vérification des détecteurs de fumée ou le nettoyage du four. Ces tâches ne doivent pas être effectuées tous les jours, mais elles demeurent importantes pour la sécurité et l’entretien du domicile. Un simple calendrier ou un rappel peut aider à les garder à l’esprit.

Conseil : Munissez-vous d’un calendrier mural ou d’un tableau blanc pour noter et visualiser qui est responsable de chaque tâche ménagère et le moment auquel ces tâches doivent être effectuées.

Conseil : Demandez à un(e) ami(e) ou à un membre de la famille de programmer des rappels dans leur agenda pour prendre de vos nouvelles ou vous donner un petit rappel des tâches à faire.

Exemple : Lors de l’une de nos entrevues de recherche, une personne autiste nous a expliqué combien elle aimait avoir une autre personne dans le logement avec laquelle elle pouvait alterner les tâches. Les deux colocataires faisaient le ménage et la cuisine à tour de rôle, en s’échangeant les tâches tous les jours. La personne autiste estimait que la présence d’une autre personne rendait les choses « bien meilleures que si je les faisais par moi-même. Je n’ai pas l’impression d’avoir beaucoup de travail si nous les faisons ensemble. Le fait d’avoir quelqu’un fait en sorte que les tâches ne deviennent pas un poids pour moi. J’ai même du plaisir à les faire ».

Facilitez l’entretien du domicile avec des guides clairs et des outils efficaces

Découverte : Nous avons appris qu’il est utile pour les propriétaires et les gestionnaires de logements de partager un guide d’entretien du logement qui contient les coordonnées de services locaux et des personnes à contacter pour les réparations ou les urgences.

Inclusion : Des guides faciles à suivre permettent d’éviter de devoir procéder à tâtons pour accomplir certaines tâches et donnent aux gens plus d’assurance lorsque vient le temps d’assurer la gestion de leur espace.

Application : Consultez notre Liste d’entretien planifié de la propriété pour un exemple de communication sur les tâches à venir, communication qui permet aux locataires de savoir à quoi s’attendre et de planifier leurs horaires en fonction des travaux prévus.

Liez le ménage à une visite sociale

Découverte : On nous a mentionné que le fait d’inviter un(e) ami(e) à la maison pour une visite sociale crée parfois une petite motivation suffisante pour inciter à un ménage rapide.

Exemple : Lors d’une entrevue avec une personne autiste défendant ses propres droits, celle-ci a déclaré : « C’est bien d’être entouré(e) d’ami(e)s, surtout parce que j’ai envie de les inviter chez moi et quand je les invite, je me dis que je dois au moins ranger la salle de bains et m’assurer qu’il y a de la place pour que mes ami(e)s puissent s’asseoir. Cela m’aide donc en quelque sorte à prendre soin de mon domicile ».

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Partager des espaces de vie

Vivre avec d’autres personnes peut être une bonne chose et apporter du soutien, un partage des tâches et des moments de convivialité. Mais il faut aussi veiller à ce que tout le monde se sente à l’aise dans cet espace.

Voici quelques idées pour faciliter la cohabitation : établir des routines, parler des aspects sensoriels et trouver le bon équilibre entre le temps passé en solitaire et le contact social.

Explorez la vie en commun avec une autre personne neurodivergente

Découverte : Certaines personnes nous ont dit que vivre avec une autre personne neurodivergente leur semblait plus confortable et leur convenait mieux parce qu’elles n’avaient alors pas à s’expliquer.

Inclusion : Rappelez-vous que même si les deux personnes sont neurodivergentes, leurs besoins peuvent être différents.

Exemple : Nous avons discuté avec une personne neurodivergente de ce que c’était que de vivre avec une autre personne neurodivergente. Elle a estimé qu’il s’agissait d’une expérience positive : « Nous sommes deux personnes neurodivergentes, alors nous nous comprenons au niveau cellulaire. J’ai aussi appris à mieux connaître la quantité d’espace, y compris d’espace émotionnel, dont j’ai besoin ».

Soyez attentif(ive) aux zones sensorielles dans le domicile

Découverte : Nous avons appris que les besoins sensoriels jouent un rôle important pour une vie épanouie à domicile et que ceux-ci sont différents pour chacun(e). Discuter ouvertement des besoins sensoriels peut contribuer au confort de chacun(e) chez soi.

Exemple : Au cours de nos recherches, de nombreuses personnes neurodivergentes nous ont parlé des zones sensorielles dans leur maison. Parfois, c’était en lien avec d’autres personnes s’adonnant à des tâches ménagères, comme nous l’a dit une personne neurodivergente : « Par exemple, si mes colocataires mettent en marche le malaxeur pour faire des smoothies ou autres, ils/elles m’avertissent pour que cela ne nous plonge pas dans un enfer sensoriel ».

Conseil : Réfléchissez à tous les sens et à la manière dont certaines activités peuvent être associées à un inconfort sensoriel. Par exemple, l’aspirateur, les appels téléphoniques sur haut-parleur, les ventilateurs, les fenêtres ouvertes ou fermées, les comptoirs collants, les parfums, les odeurs de cuisine ou les produits de nettoyage.

Application : Consultez notre exemple de Carte des zones sensorielles pour vous aider à en créer une et à l’utiliser pour parler des besoins sensoriels avec vos colocataires.

Faites de la place pour la vie privée et le contact social

Inclusion : Le fait de disposer d’un espace privé dans un domicile partagé permet aux gens de se ressourcer, de réduire leur stress et d’éprouver un sentiment d’équilibre.

Conseil : Partagez les espaces en fonction des heures d’utilisation s’il n’y a pas de salle séparée. Par exemple, quelqu’un peut utiliser le salon pour se détendre l’après-midi, et quelqu’un d’autre peut l’utiliser plus tard en soirée.

Conseil : Prévoyez des moments réguliers pour établir un contact social, par exemple en regardant une émission ensemble ou en discutant autour d’un repas.

Affichez des lignes directrices claires et visibles pour les espaces communs

Découverte : Nous avons appris que des directives claires dans les espaces communs tels que les salles de lavage, les salles de sport ou les terrasses évitent de devoir « deviner » les besoins d’autrui et préviennent la confusion autour de règles non écrites. De telles directives permettent à chaque personne de se sentir plus à l’aise et plus confiante dans l’utilisation de l’espace.

Inclusion : Les bons panneaux et messages ont un ton positif et utilisent des textes et des images simples. Ils doivent également se présenter sous plusieurs formes, par exemple sous forme d’affiches, d’avis numériques ou de dépliants.

Application : Consultez nos exemples de Panneaux pour espaces communs pour obtenir des idées pour concevoir une signalisation claire qui rappelle les règles et attentes non écrites.

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Rester en bonne santé mentale, émotionnelle et physique

Il est important de se sentir en sécurité et à l’aise chez soi et dans son quartier.

Voici quelques stratégies pratiques pour favoriser certains éléments clés tels que la sécurité physique, les soins personnels, la nutrition et le confort au quotidien.

Prévoyez afin d’assurer la sécurité physique en cas d’urgence

Découverte : On nous a mentionné que la sécurité physique à la maison implique d’être prêt(e) à faire face aux situations d’urgence. Qu’il s’agisse d’un incendie, d’une panne d’électricité ou d’une situation médicale, l’élaboration d’un plan permet de protéger la santé, de réduire le stress et de s’assurer que tout le monde sait ce qu’il faut faire.

Inclusion : Un bon plan d’urgence tient compte de la manière dont les gens communiquent, du type de soutien dont ils pourraient avoir besoin et des choses qui les aident à rester calmes dans les situations stressantes. Les plans doivent être clairs, faciles à suivre et partagés avec toutes les personnes susceptibles d’être impliquées dans le soutien à la sécurité.

Conseil : Constituez une trousse d’urgence comprenant :

  • Un guide visuel décrivant les actions essentielles à entreprendre en cas d’urgence.
  • Une liste de ressources avec les numéros de téléphone importants.
  • Un sac contenant les fournitures nécessaires et les objets de confort pour l’autorégulation.

Conseil : En plus des alarmes sonores, envisagez de disposer de différentes méthodes pour signaler une situation d’urgence, telles que des lumières clignotantes ou des paroles.

Application : Consultez nos Conseils pour élaborer un plan d’évacuation d’urgence afin de créer ou d’adapter un plan accessible qui prend en compte les différents besoins de traitement de l’information.

Utilisez des rappels pour favoriser les soins personnels et la nutrition

Découverte : Nous avons appris que les soins personnels, comme manger, boire de l’eau ou rester au chaud à l’extérieur, peuvent être oubliés lorsque les gens sont occupés. La mise en place de rappels discrets permet d’encourager le maintien des bonnes habitudes.

Exemple : Les animaux de compagnie peuvent être de formidables rappels naturels. Leur routine incite souvent leurs humains à prendre soin d’eux-mêmes en sortant, en faisant des pauses, en mangeant et en faisant de l’exercice.

« Je dois toujours m’assurer que mes animaux sont nourris et qu’ils boivent de l’eau. Mon chat m’aide donc à me responsabiliser par rapport à ma propre santé, car si je me lève pour aller lui chercher de l’eau, alors je vais aussi me chercher de l’eau en même temps, par exemple. »

Facilitez les repas en les préparant à l’avance

Inclusion : Lorsque l’on vit seul(e), il peut être difficile de se sentir motivé(e) pour cuisiner pour une seule personne. En préparant les repas à l’avance, il est plus facile de bien manger, surtout les jours où l’on manque d’énergie ou de concentration.

Conseil : Essayez de préparer des portions plus importantes et gardez les restes pour un autre repas. Les services de livraison de repas peuvent également être une option si le budget le permet.

Proposez des aides au transport pour accéder aux espaces communautaires

Découverte : On nous a souligné que l’accès à des espaces communautaires pour les loisirs, l’apprentissage ou le lien social est très important. Les établissements tels que les bibliothèques ou les centres de loisirs sont des atouts majeurs pour une communauté. Cependant, l’accès à ces espaces reste un obstacle courant.

Conseil : Essayez d’aider quelqu’un à planifier des itinéraires ou à réserver des trajets, ou offrez de la formation sur les déplacements pour que la personne puisse se rendre à ses activités préférées.

Conseil : Lors de l’organisation d’un événement, prévoyez du temps, du personnel ou des fonds pour le transport afin de faciliter les déplacements.

Le livre des bonnes idées